Les Oblats de Marie Immaculée (OMI) sont une congrégation religieuse catholique fondée en 1816 par saint Eugène de Mazenod. Leur mission principale est d’annoncer l’Évangile aux plus pauvres et abandonnés, en mettant l’accent sur la spiritualité mariale (dévotion à Marie) et l’engagement auprès des communautés marginalisées, notamment dans les zones de mission à travers le monde. Leur devise : « Il m’a envoyé évangéliser les pauvres » (Luc 4,18).
En 1933, les Oblats de Marie Immaculée répondent à l’appel des Missions Étrangères de Paris pour évangéliser le Nord-Laos, une région isolée et (…)
Articles les plus récents
Les Oblats de Marie Immaculée au Laos (1933-1970) Un dos orné de cinq idéogrammes disposés verticalement. Cinq idéogrammes au dos des cartes "bleu métallique " de Cochinchine
Lus de haut en bas et de droite à gauche :
寄信牌 (Jì xìn pái) : « Carte de correspondance, carte postale »
东洋 (Dōng yáng) : « Orient » ou « Asie de l’Est »
Autrement dit, « Carte de correspondance de l’Orient » — une mention qui évoque déjà le voyage et l’exotisme.
Dos verdâtre et dos rose cramoisi
A suivreLe Cartacaro Nouveau est arrivé Aujourd’hui 20 novembre .
On ne sait s’il sent la banane mais il est arrivé. Avec ces couleurs vives New Cartacaro is here ! 🎉
New, vintage & ready to explore – The postcards you’ve been waiting for have arrived !
Le Cartacaro nouveau est en ligne
Nouveau, vintage and in english, of course !
Cartacaro will be available in English online. Each translation will go live with a 30-day delay—but it will be online ! Follow us for updatesDes cartes "bleu métallique " de Cochinchine À ce jour, Cartacaro a répertorié 22 cartes distinctes, toutes éditées sur carton avec dos non divisé avant 1904, ainsi qu’une carte postérieure à cette date. Leur point commun ? Leur couleur particulière, un bleu métallique teinté de gris...
A suivre
Cartacaro référencera ces cartes sous le nom de l’éditeur bleu métalliqueCochinchine secrète : sur la piste d’un éditeur mystérieux de cartes postales (1900-1904) Imaginez
Au détour d’un stand dans un salon de cartes postales anciennes, une série de clichés attire soudain votre attention. « Jamais vu, et pourtant bien authentique ! »
Ces cartes, sans éditeur ni photographe connu, respirent l’histoire et l’authenticité.
Leur dos est caractéristique avec un ornement de cinq idéogrammes.
Intrigués, nous avons fouillé les ventes en ligne et les expositions cartophiles, et peu à peu, ces mystérieuses cartes postales sont apparues plus nombreuses que prévu…
A suivreLes cartes postales d’Indochine et leurs timbres chinois : une curiosité historique Les collectionneurs de cartes postales d’Indochine sont souvent intrigués par une particularité : certaines cartes, bien qu’originaires de cette région, portent des timbres chinois oblitérés par un cachet chinois. Cette singularité s’explique par un contexte historique méconnu, notamment à Haïphong.
Un régiment particulier : la réserve de Chine À Haïphong, existait un régiment dit de la réserve de Chine. Ce détachement militaire pouvait être appelé à intervenir en Chine si les événements politiques ou militaires l’exigeaient. Les soldats en poste dans cette ville achetaient des cartes (…)Rôle des Résidents dans les protectorats en Indochine À l’époque coloniale, un résident est le représentant officiel d’une puissance coloniale pratiquant un gouvernement indirect. Généralement diplomate ou militaire, il réside et travaille dans les entités politiques autonomes (protectorats ou États) sur lesquelles la puissance coloniale exerce une souveraineté partagée. Bien que son rôle soit officiellement celui d’un conseiller politique auprès du souverain local, il incarne souvent, dans les faits, le véritable pouvoir exécutif. Il supervise l’administration locale, contrôle les finances, et influence les décisions politiques, tout en (…)
Le village de Kinh Lộc et l’héritage de Hoàng Cao Khải Hoàng Cao Khải, dernier vice-roi (ou Kinh Lộc) du Tonkin sous la dynastie Nguyễn, marqua profondément l’histoire de Hanoï à la fin du XIXe siècle.
En 1893, sollicité par les habitants d’un village établi sur des terres marécageuses et insalubres en périphérie de Hanoï, il intervint pour les exonérer d’un impôt jugé injuste sur des parcelles incultes. Plutôt que de simplement annuler la taxe, il racheta lui-même ces terres et en acquitta les impôts fonciers. Avec une vision ambitieuse, il décida d’y fonder un nouveau village, qu’il nomma Thai Hà Ap ,« le village du fleuve de la Prospérité (…)


