Le Boulevard Charner, d’une longueur de 700 mètres, occupait l’emplacement d’un canal qui existait déjà à l’arrivée des Français. Ce canal s’étendait de la mairie jusqu’à la rivière. Peu avant son terminus, il était coupé par le canal Gallimard, qui devint plus tard le Boulevard Bonard.
Le « Grand Canal » ou « Canal Charner » était encadré par deux rues qui portaient initialement le numéro 18. Par la suite, celle située sur la rive droite (sud-ouest) fut nommée rue Charner, tandis que celle sur la rive gauche (nord-est) devint la rue Rigault-de-Genouilly, comme mentionné dans le « (…)
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1950, Saïgon, Boulevard Charner Haïkus, Cimes éternelles et Arbres vénérables Cimes éternelles
À condition de braver le terrain accidenté et la météo imprévisible, les montagnes sont un sujet très fécond pour les photographes. Les compositions de Michael Kenna en témoignent avec éloquence, particulièrement celles réalisées depuis 2OO7 dans les monts Huang (huangshan), dans l’est de la Chine. Les silhouettes fantastiques des pics de granite émergeant d’un océan de nuages font écho à la tradition de la célébration des « montagnes et eaux » (shanshui) pratiquée par les poètes puis par les peintres Lettrés chinois depuis le 4" siècle.
Arbres vénérables
Les (…)1950, Palmiers, arroyos et charrettes Ces paysages illustrent la vie rurale : les palmiers bordant les routes, les arroyos au pied des zones agricoles et des rizières, et ces charrettes typiques tirées par des bœufs et des zébus.
Ces cartes postales, expédiées entre 1951 et 1955, témoignent de la nature verdoyante et du climat paisible du Sud Vietnam.1950, Cap Saint-Jacques et son "Beach food" En Asie, on mange à toute heure, même sur la plage.
Cap Saint-Jacques et son "Beach food" : s’agit-il de crêpes frites (nem), de bánh cuốn (crêpes vapeur), de salades, de riz gluant avec sauce piquante ou tout simplement de bánh mì ?
Connue comme une station balnéaire prisée du Sud Vietnam, Cap Saint-Jacques, aujourd’hui Vũng Tàu, abrite de nombreuses belles petites plages. Celle-ci est l’une des plus charmantes, caractérisée par une plage de sable fin, peu profonde, avec des vagues douces, ce qui la rend particulièrement propice à la baignade.1950, Dalat oublié Deux vues de Dalat en 1950, Dalat d’autrefois, Dalat oublié. Lisons, fermons les yeux et, visiteurs d’un soir, d’une semaine ou d’un mois au palace de Longbian, prenons une voiture ou un tilbury et partons nous rafraîchir aux chutes de Gougah
Inauguré en 1922, l’hôtel Langbian Palace était une retraite paisible pour les Européens en quête de fraîcheur loin des chaleurs étouffantes. À seulement une heure de Dalat, les chutes de Gougah présentaient un cadre naturel enchanteur, parfait pour la détente.
Aujourd’hui voici ce qu’on peut lire Les chutes de Gougah, autrefois majestueuses, (…)Angkor, Les attributs préservés Conserver en moins grand nombre que les statuts en pierre, les bronzes sont parfois plus explicites et permettent des identifications plus précises, notamment grâce aux attributs qui ont souvent été préservés particulièrement dans les œuvres de petite dimension.
Musée national des arts asiatiques
Guide de visite
Photo Thierry Olivier pour le musée Guimet