À partir du 1er décembre, Cartacaro vous invite à vivre une expérience unique pour patienter jusqu’à Noël : le Calendrier Cartophile de l’Avent 2024. Cette année, partez à la découverte de trésor visuel de la péninsule indochinoise.
Balades dans Saigon 1950
Montez dans la 4cv garée devant vous, tirez bien la porte, allez on y va !
Le Boulevard Bonnard (maintenant Lê Lợi )
Ce boulevard commence au Théâtre municipal et coupe perpendiculairement la rue Catinat et le boulevard Charner pour finir sur la place Eugène Cuniac où se trouve la gare ferroviaire.
La station de taxis Boudonnet
La rue Boudonnet longe le côté Nord de la plate-forme de la gare. Elle joint la rue Frère-Louis à la place Cuniac (Halles centrales).
Rond Point Charner
Le Rond-point Bonard-Charner avec sa grande vasque et son jet d’eau.
Le soir venu, il paraît que les enfants aiment jouer et s’éclabousser avec ces gerbes d’eau.
Boulevard Galliéni
Le boulevard Gallieni est ouvert à la circulation le 9 décembre 1913.
Conçu dès l’origine comme le prolongement du boulevard Bonnard le boulevard Saigon-Cholon s’étend jusqu’à l’ouest jusqu’à la rue d ’An-Binh, rue des Marins et continue jusqu’à Cholon.
La station autobus
Des bus, des vélos …et une superbe publicité pour le papier à cigarette JOB.
Une virée au bord de la rivière Saigon et de l’arroyo Chinois.
L’arroyo chinois est le cordon ombilical reliant Cholon à Saigon. Sur cet Arroyo stationnent ou se déplacent en permanence une flottille de 3000 sampans chinois ou jonques. C’est par cette voie que transitent notamment depuis l’intérieur du pays le riz brut ou paddy vers les usines de Cholon et transportent aux cargos ancrés dans le port de Saïgon le riz décortiqué en provenance de ces usines
Il fait chaud, un plongeon au cercle sportif
Le Cercle sportif Saïgonnais, a été créé par un groupe d’escrimeurs amateurs en 1902 « pour encourager et développer le goût et la pratique du sport ».
En 1933, la piscine extérieure scella à jamais la réputation du cercle. Prévue en 1926, elle n’avait pu être réalisée, en raison du manque d’eau propre.
Cette piscine fut tout de suite le rendez-vous de la société coloniale.
Sa popularité fut telle que la revue du cercle sportif en fit sa devise « Notre piscine orgueil de Saigon ». On disait volontiers « il n’est pas chic de ne pas en faire partie ».